Nelly-Ève Rajotte is a professor at the School of Design at UQAM, where she leads the Moving Image and Sound Design research axis. A visual and media artist, her practice engages time-based media, moving image, sound, immersion and the experiential dimension of perception, explored through performance and installation. Her research-creation focuses particularly on non-human modes of landscape capture, using LiDAR, biosensors, artificial intelligence, and robotics, while examining the sensitive entanglements between technology, the body, and the environment. Her works, recognized for their immersive and monumental presence, challenge conditions of reception and open new forms of perceptual otherness. In Quebec, her projects have been presented at the Musée d’art contemporain de Montréal (MACM), the Musée d’art de Joliette (MAJ), Fonderie Darling, Occurrence, Clark, Optica, and Circa. Internationally, her work has circulated in festivals and events such as MUTEK (CA, JP, MX, AR), the International Festival of Films on Art, the KIKK Festival (Belgium), Transmediale (Berlin), ISEA, Lab30 (Germany), and the International Short Film Festival of Berlin.<br>Her upcoming exhibitions include solo presentations at Contemporary Calgary (CA) and Emerson Contemporary (Boston, US) in 2026. Her works are part of several public collections, including that of Hydro-Québec.

Blanc et Film Noir performance A/V

 

 

Installation vidéo Blanc ainsi que la performance AV film noir ont été présentées au ciné-parc abandonnée de Drummondville le 18 aout 2017. Dans le cadre de Truck Stop 2017 de Centre Clark et l’oeil de poisson.

L’installation vidéo monumentale sera présentée au cœur même du trajet Montréal-Québec, soit au ciné-parc de Drummondville, lieu fermé depuis quelques années. Le ciné-parc fermé, obsolescent, vient clore la vidéo par sont lieu même et sont état d’abandon, le cinéparc abandonné, le grands écrans blanc, vide, se verra illuminé par l’image.

Par un déplacement robotique aérien, le sublime des paysages nord canadiens est survolé par l’œil-machine en fonction du point de vue du spectateur même. Ouverture sur le même cinéparc enneigé où un « écran de cinéma blanc » au centre du paysage invite le spectateur à se perdre à l’intérieur du point de vue (« God eye’s POV ») de la machine parcourant le paysage.

Le travelling aérien dans le désert blanc déstabilisant les perceptions et créant du vertige, le spectateur adopte la perspective aérienne et déroutante sur le paysage de l’œil-machine, du drone. Le projet s’inscrit ainsi dans une démarche de questionnement du langage cinématographique (point du vue) et des arts numériques où le spectateur sera amené à vivre une expérience sensible singulière tout en étant confronté à ses propres perceptions face à l’image mouvement. La monumentalité in situ de la projection interagira de la sorte sur la perception/immersion du spectateur et contribuera à sa perte de repères.

 

Musique introduction
David Kristian

Musique Blanc et film noir
Nelly-eve Rajotte

Images documentation
Justin Loiselle

Montage
Nelly-eve Rajotte

L’artiste tiens a remercier
SGT 2000
Le centre Clark
L’oeil de poisson
Perte de Signal

Ainsi que tous les participants.